Kinshasa, Kongo, 2017. In dem urbanen Dschungel mit 13 Millionen Einwohner*innen, inmitten von sozialem und politischem Chaos, taucht eine brodelnde Street-Art-Szene auf. Underground-Darstellungskünstler*innen, Musiker*innen und
Performer*innen schaffen Kunst aus dem Nichts, aus Müll und Schrott abseits des Mainstreams. So verleihen sie ihrer Wut und ihrem Wunsch nach Veränderung Ausdruck. Auch strengste Autoritäten können die Bewegung der Künstler*innen nicht aufhalten.

»Barret macht den Zuschauer*innen die dauernde Verzweiflung der Künstler*innen verständlich; ihre Kreativität schläft
trotzdem nie.« Glenn Kenny

On est à Kinshasa (Congo) en 2017 : dans cette jungle urbaine de 13 millions d’habitants, en plein chaos social et politique, émerge une scène de street art bouillonnante. Artistes underground, musiciennes et musiciens, performeuses et performeurs font de l’art à partir de rien – des déchets et des débris – à l’écart de la culture dominante. C’est ainsi qu’ils expriment leur colère et leur aspiration au changement. Même les autorités les plus strictes ne peuvent arrêter le mouvement des artistes de rue.

« Barret sensibilise les spectatrices et spectateurs au désespoir permanent des artistes ; malgré cela, leur créativité ne connaît aucun repos. » Glenn Kenny